.Death toll.
bilan inefficace sur la toile, que de la poussière, pas d'avenir aux
horizons quelques gouttes d'espoir sans raison. Tirer le trait passif
et fermer la porte au ridicule prendre appui, j'ai perdu l'appel, le
saut grandissant n'a finalement rien d'attrayant peut être faudrait il
découvrir du nouveau pour redonner l'envie au présent.
Ne pas y
être, deux trois etreintes assassines deux trois mains laissées à
l'abandon derriere un rocher et rien de plus le quotidien ne rime plus
avec création restent peut être les brindilles de vents qui effleurent
ici et là et peut etre meme ce soir le grand frisson. Ne plus jamais
s'en repentir, tout a été construit au platre et quand il fallait
souffler pour que ça seche le vent ne nous a plus jamais laché il faut
certainement accepter ce creux total imposé cette absence insoupçonnée
de soi enfin de vivant qui semblait rimer plus souvent avec agonie
qu'autre chose et la question serait donc que vivre puisque plus rien
n'adhère toile ciré je me suis cousue des sourires de papier, puisque
tout s'ajoute au non sens total, les autres, l'autre et puis tellement
d'autres encore, que faire ?
Bonnes résolutions deux milles huit:
arrêter
d'arrêter
de vivre